La fête de nos cent ans
31 août - 2 septembre 2001
Tout ceci ne serait jamais arrivé sans l'insatiable curiosité du Greu ... et sans le hasard qui a voulu que cet anniversaire de nos cent ans collectifs tombe sur un week-end idéal pour faire une fête intéressante dans la tradition de nos méchouis annuels.
Dès avril, le lieu était trouvé : le Centre de Montagne de Lajoux.
- Le Centre de montagne -
Les trois mois qui ont suivi ont été remplis d'une activité dense et complice pour Corinne et moi : fin avril une invitation était envoyée aux parents et aux copains sur le thème de l'année 1901 (2001 - 100 ans = 1901) symbolisée par le gramophone Nipper. Un logo était trouvé qui illustrait notre lettre d'information de fin juillet puis les T-shirts commémoratifs réalisés pour le 1er septembre. Ce logo est aussi à l'origine de toute une série d'affichettes que nous avons utilisées comme déco dans les locaux du Centre.
Le week-end de nos cent ans commençé donc le soir du vendredi 31 août où une quarantaine de proches nous avait déjà rejoint pour un buffet de montagne arrosé de Leffe et de Côtes de Nuits Lecroisey et suivi pour les plus fringants par quelques danses au night-club des Parisettes.
La suite en photos (merci Marcel)
Il pleut et pendant que certains visitent le CERN et qu'une poignée de courageux batifolent dans les branches de la forêt de l'Aventure, à la Faucille, les amis continuent d'arriver au Centre :
encore un peu timides, devant la réception du Centre
on se retrouve et on discute
la lutte sera chaude entre bière et vin !
arrivée de Claude et Thérèse
On se retrouve une bonne soixantaine autour d'un mouton et de deux cochons, en intérieur malheureusement vue l'humidité de l'air extérieur
- le repas des jeunes fauves -
Pascal nous filme
copains comme cochons
pauvre bête !
Vers 16h, départ pour l'excursion surprise de l'après-midi dans deux cars qui, après quelques détours, finissent par amener tout le monde devant la Mairie de Prévessin où les centenaires attendaient en costumes 1900 (1901 plutôt) pour quelque chose qui avait bien l'air d'un mariage. Les témoins (Rosine, soeur du marié et Jean-Pierre, vieil ami de la famille de la mariée) n'avaient pas craqué; les bans étaient passés inaperçus, mais, bien sûr, à les entendre, ils avaient tous deviné !
A l'intérieur, Jean-Pierre qui avait amené tout le Jazz-band du CERN, se déchaînait :
Bon, qu'est-ce que je fais? je dis oui ?
et finalement elle dit oui en chantant Brel !
du coup, on se passe les alliances sous le regard attendri de Guy, ceint de tricolore
Évidemment je fais un petit discours
et pour me faire pardonner, je distribue des fleurs aux dames à la sortie
un bleu s'est joint à l'orchestre pour la circonstance
et c'est en cortège que nous gagnons la maison, le Greu paradant en tête
When the saints go marching in ...
New Orleans et champagne
La mariée et sa copine Isabelle
Chloé et Farid
où l'on peut voir l'anorak qui m'a mis en état de choc, il y a 12 ans
et la tenue complète de Sherlock Holmes
L'heure de gloire d'un short du Vieux Campeur
ou encore la danse de la mariée avec son père
Retour au centre de Montagne et repas "amélioré". Le poisson n'est pas mal. La poularde au vin jaune est bonne (bien que la recette n'ait pas été celle de Coco). Les fromages sont un peu trop échantillonnés à notre goût et les gâteaux qui ont largement dérapé dans les virages de la Faucille ne sont guère présentables; ils seront quand même avalés si vite qu'on en oublie de sortir le champagne.
Coco sort son petit compliment en vers
et les poteaux du Club nous sortent leurs vannes concoctées
par la blondasse (Valérie) sur l'air des Copains d'abord
Christiane, Juju, Raymond, la blondasse et Trudi
Raymond et Juju (avec Rita et Jeannot dans le fond)
Bruno et Betty
Et puis, il n'y a pas eu la chanson de Marielle et Jean qui pourtant aurait fait un fort bel effet...
Une "dernière pierre à l'édifice" nous est parvenue, en guise de cadeau de Noël, oeuvre d'un jeune compositeur-interprête de Lansargues. Cela s'appelle : "Gare à Corinne ... mon vieux Bertrand", tout un programme! (voir colonne de droite)
Jean-Pierre qui ne s'attendait pas à ce qu'on fête son anniversaire
(il est 0h05 le 2 septembre)
Les gâteaux amochés dans le transport
mais quand même bien bons
Suite et fin au night avec Véro et Gazou qui découvrent la sono sur ordinateur ... et la vitalité de quelques Cernois restés avec Nico sur la piste de danse jusques aux petites heures du matin.
Le dimanche 2
Un petit déjeuner qui tourne au brunch sur le coup des 11 h ...
... un match de volley au soleil retrouvé ...
... du farniente réparateur avant que la plupart des potes ne se dispersent. Le soir il ne reste qu'un noyau dur ( je veux dire: la famille) qui se séparera à son tour le lundi matin.
Merci les parents, merci les copains. C'est vrai que notre truc n'était pas trop mal organisé, c'est vrai que notre petite surprise a bien marché et ça nous a réjoui. Mais ce qui nous a vraiment comblé, c'est le plaisir que vous avez manifesté dans ce week-end.
Merci aussi pour tous vos cadeaux (nous ne savions pas que vous nous considériez comme des alcoolos) sans oublier ceux pour le Greu dont une certaine moto télécommandée qui a fait un tabac.